Dossier cap sida
Le syndrome d'immunodéficience acquise, plus connu sous le nom de SIDA, est une maladie qui entraîne une chute des défenses naturelles. Il est provoqué par le virus de l'immunodéficience humaine (VIH), qui a la particularité de s'attaquer à l'un des composants essentiels du système immunitaire, les lymphocytes T.
Problèmatique :
Quelles sont les différentes inégalitées face au SIDA a travers le monde et comment y remédier.
I : Les régions les plus touchées pas le VIH.
Grace a ce tableau, nous pouvons constater que les principales régions touchés pas le sida sont l’Afrqieu subsaharienne, et l’Asie du Sud et du Sud-Est en moindre partie. Avec respectivement 22,4 millions et 3,8 millions personnes vivant avec les VIH.
Nous remarquons que les pays les plus touchés sont les pays dis « Du Sud », c'est-à-dire les Pays en Voie de Développement. En contre partie, les pays les moins touchés sont les pays dis « Du Nord », qui sont constitués des Pays Développés à Economie de Marché.
Il y a deux vitesses de la pandémie du sida, selon qu’on soit au nord ou au sud de l’hémisphère. Et deux visions sur l’état de la campagne d’accès aux médicaments antisida et le rôle joué par les laboratoires pharmaceutiques ; la première est diplomatique, pragmatique, résignée. Et elle dit, comme ce responsable de l’ONU-sida : « On est dans un processus dynamique. On vient de le prouver au Sénégal : les labos ont baissé de 80 % le prix annuel d’un traitement, soit entre 1000 et 1800 dollars ; 900 personnes sont traitées. » La seconde est cynique, économique. Et elle se résume à des chiffres. Pourquoi l’industrie pharmaceutique, qui pèse 400 milliards de dollars, s’intéresserait à un continent comme l’Afrique qui absorbe 1,3 % des ventes de médicaments, soit 3,5 milliards de dollars. Pour comparaison, l’Europe totalise 100 milliards, l’Amérique du Nord, 160 milliards. Si cinq grands laboratoires ont annoncé le 11 mai dernier qu’ils acceptaient