Dossier d'éco-droit
Cette étude numéro 1 s’intitule « Les responsabilité en cas de bizutage ».
Le bizutage est interdit depuis 1998 et pourtant il reste très présent en France. Ces épreuves, destinées à baptiser les nouveaux venus, concernent généralement les élèves et étudiants de l'enseignement supérieur, dans les écoles d'ingénieurs, les écoles de commerce et les écoles militaires, mais aussi les facultés de médecine, de pharmacie et les classes préparatoires. Le but de cette étude est d’étudier les responsabilités en cas de bizutage.
Pour commencer je parlerais du bizutage (définition, origines, témoignages, chiffres et contexte), puis je présenterais les 2 types de responsabilités en donnant les définitions (civile, pénal) et pour terminer je ferais le lien entre le bizutage et les responsabilités engagées en cas de bizutage (lois, les sanctions et les peines).
1- Le bizutage
a) Définition
Le bizutage est un ensemble d’épreuve imposés qui est destiné à symboliser l’intégration d’une personne au sein d’un groupe social particulier : étudiants, militaires, professionnel, etc. Ce genre de pratiques a souvent fait l’objet de l’attention des médias, après de nombreux incidents comme la mise en examen de quatre bizuteur après le bizutage à Dauphine. Refuser un bizutage qui peut être très humiliant comme « des étudiants menacé en amphis, nus et salis, la tête dans un bac à contenu immonde » qui expose parfois à la possibilité de subir une exclusion d’un groupe.
b) Les origines
Illustration : Bizutage militaire d’un officier pilote - Compiègne, France - 1997
Les premières traces du bizutage remontent au moyen âge, mais les plus concrètes datent du XVIIème siècle. A l’époque le bizutage nommé « béjaune » est présent à l’université de paris, les principes de l’époque sont : violence, humiliation, sexes et alcool.
C’est rites s’arrête avec la révolution de 1789, puis ils recommencent à l’école polytechnique de paris en 1804 dont les