Dossier : l'alcool au volant
I. Introduction
II. Risques sur la route
a) Réfléchir avant de conduire imbibé
b) Soyez BOB, pas Marley
c) Hypovigilance et capacités physiques
d) Des risques en tout genre certains plus inhabituels que d’autres
e) Perturbations au volant
III. Témoignages
IV. Conclusion
V. Lexique
VI. Bibliographie
VII. Critique des sources
VIII. Commentaires
Légende :
I. INTRODUCTION
Source (1)
Les dangers auxquels nous sommes exposés au volant devraient interpeller bien plus de personnes qu’ils ne le font.
Pourquoi ? Et bien car trop de personnes ne se sentent pas concernées lorsque l’on énumère le nombre d’accidents sur la route et leurs causes. On croit toujours que ce genre d’accidents arrive aux autres et pas à nous, qu’on est plus vigilant que les autres, qu’on sait se contrôler en cas d’ivresse,… Et bien c’est FAUX, et c’est ce que l’article ci-dessous nous prouve! Un accident est bien plus vite arrivé qu’on ne le croit.
Moi, je "tiens bien l'alcool"; même après plusieurs verres, ma lucidité reste totale.
Faux. Lorsqu’on boit de l'alcool régulièrement, on en perçoit moins les effets, mais cela ne change rien au taux d'alcoolémie... et pas grand-chose aux effets néfastes sur la conduite (mauvaise perception du danger, baisse de la vigilance, réflexes troublés, restriction du champ de vision, etc.
Quand j'ai trop bu, j'avale un café fort et salé (ou plusieurs verres d'eau, une aspirine, etc.) et je peux conduire sans problème...
Faux. Il faut en moyenne 90 min pour que le corps élimine un verre de boisson alcoolisée. Et quoi qu’on fasse, boire de l'eau, du café, trois aspirines ou marcher à l'air, cela ne permet pas d'éliminer plus vite. La seule recette : attendre.
J'ai un peu trop bu, mais je sens que je peux conduire...
Faux. Justement, le problème majeur lorsque l'on a bu, c'est qu’on n'est plus à même de juger ce qu’on est apte à faire ou à ne pas faire. L'alcool crée un sentiment d'euphorie fort