: observations:

L'article « Autorité » de l'Encyclopédie de Diderot, écrit en 1761-17762. la « Prière a Dieu » tirée du chapitre XXIII e du Traité sur la tolérance publié en 1763 par Voltaire et la « Lettre LXXX » des Lettres Persanes éditées par Montesquieu en 1721 sont trois textes représentatifs du mouvement des lumières. Ces textes qui ont pour thème L'autorité cherche a dénoncer celui qui est visé à travers la critique effectuée par les philosophes,et les points communs de cette remise en cause? Nous verront comment les auteurs remettent en cause le pouvoir royale et la religion.

Pour Diderot, la loi du plus fort est condamnable puis qu'elle est une « usurpation »(L9) et non un droit. La seule autorité » légitime entre les hommes est celle du père qui peut éduquer ses enfants à seconduire de philosophes. L'autorité royale qui représente un droit divin et non un « consentement » du peuple est remise en cause. L'auteur ici ne pense pas à la révolution mais plutôt à une évolution: « ...quelque fois, change de nature... ». cet essai définit l'autorité mais qui est aussi une critique de la monarchie absolus de droits divins..ils existent deux autorité: celle qui émane de la force et celle qui émane du consentement.

Pour Voltaire, la tolérance est necessaire aux hommes, et c'est sous la forme d'une prière qu'il vise l'intolérance catholique vis-à-vis des protestants(L12-15). Les points communs quelle soit royale ou religieuse, la tyranie est condamné, car considérée comme néfaste inutile et contraire aux biens communs aussi chacun des textes évoque-t-il la notion de valeur communs.

Pour Montesquieu, l'exercice du pouvoir est utilisé à travers la violence et l'injustice. Le despotisme est ici clairement visé. Montesquieu veut convaincre les lecteurs grâce à l'argumentation rigoureuse qu'il met en place: une argumentation qui débouche sur un paradoxe. Ils parlent des gouvernements et leur règles qui ne sont pas communs: « ce n'est pas comme en