Dreyfus
Sommaire du dossier :
I) Les images et les caricatures dans la presse d’opinion favorable ou hostile au capitaine dreyfus
II) Le récit illustré de l’Affaire Dreyfus dans la grande presse quotidienne
III) La mobilisation des artistes dreyfusards
IV) Un art à destination de l’opinion
I) L a presse est omniprésente dans l’affaire Dreyfus, du début jusqu’à la fin. Dans les semaines qui suivirent l’arrestation de Dreyfus, les dessins et les caricatures des journaux se font de plus en plus nombreuses. De plus elles s’orientent dans plusieurs directions … Nous pouvons tout d’abords observer les caricatures de la presse d’opinion favorable, autrement dit Dreyfusard :
Caricature dreyfusarde sur la surdité du ministère de la Guerre. Les principaux accusateurs du capitaine Dreyfus au pilori. Puck , New York 18 octobre 1899. Archives du ministère des Affaires étrangères.
Les principaux accusateurs du capitaine Dreyfus au pilori. Puck , New York 18 octobre 1899. Archives du ministère des Affaires étrangères.
Corruption durant la période de l’affaire.
Mais nous pouvons aussi observé les caricatures de la presse hostile au capitaine Dreyfus :
Caricature de Caran dAche, révélatrice des tensions engendrées par cette Affaire.
II) Le général Mercier, ministre de la Guerre, ordonne l’arrestation du capitaine français Alfred Dreyfus. (15 octobre 1984)
Le capitaine Dreyfus est condamné coupable par le tribunal de guerre
A partir de 1897, Zola écrira 3 articles pour prendre la défense de Dreyfus dans l’affaire. Le plus notable est « J’accuse », publié dans L’aurore le 13 janvier 1898.
Le lieutenant-colonel Henry, emprisonné après avoir reconnu la fabrication d'un faux accablant Dreyfus, se suicide.
La grâce de Dreyfus (rejugé et condamné auparavant à dix ans de détention avec circonstances atténuantes) est signée par le président de la République, Emile Loubet.
III) Le camp