Droit à la différence
A- Définition du Droit à la différence Le Droit à la différence regorge deux vocables à savoir le Droit et la différence. Le premier désigne l’ensemble des prérogatives dont peut se prévaloir une personne ou encore l’ensemble des règles qui régissent ces les rapports des individus dans la société. Quant au second, la Différence, il indique l’ensemble des caractères qui distinguent une chose d’une autre, un être d’un autre ou encore un groupe d’un autre. Partant de ce fait, le Droit à la différence peut être défini comme la possibilité ou la volonté ou la liberté dont dispose chacun d’avoir des signes ou attitudes distincts de ceux des personnes vivant avec lui. C’est un droit qui permet de ne pas agir obligatoirement dans le même sens que toute autre personne parce que l’on pense trouvé on épanouissement dans un autre mode de vie. Ce droit doit donc
Les prérogatives contenues dans ce droit permettent donc à toute personne d’exprimer sa particularité, sa spécificité ou sa singularité vis-à-vis des contre sons pour autant considérer cet écart comme une infériorité. Le droit à la différence implique donc le respect, l’acceptation de la spécificité d’autrui par rapport à sa même, respect qui doit intégrer l’égalité de la personne humaine au-delà de cette différence. En définitive, le droit à la différence s’analyse comme une discrimination au sens large consistant en l’action d’isoler et de traiter différemment certains individus ou un groupe entier par rapport à un autre. Il s’en va donc qu’avec le droit à la différence, toute personne à le droit, la liberté de choisir ses modes de vie et ne doit aucunement considérer comme un complexe toute différence d’avec les autres personnes. Le droit à la différence ainsi défini repose sur certains éléments qui se