droit de famille, mauritanie
En droit Mauritanien tout comme un droit musulman l’unique rapport légal entre l’homme et la femme et le mariage tout rapport en dehors du mariage est considéré comme concubinage que la loi pénal réprime comme infraction ZINA suivant en cela les enseignements de la religion qui lui réserve aussi une sanction eschatologique , la vie conjugale commence nécessairement par la conclusion d’un mariage (chapitre1) qui produit des effets spécifiques (chapitre2).
Chapitre 1/la formation du mariage :
Il est d’usage en Mauritanie suivant en cela les recommandations de la religion soit précédé des fiançailles (khitba celle –ci sont réglementé en deux disposition dans le chapitre II du titre I consacre au mariage.
L’article 3 du CSP défini les fiançailles par la demande en mariage et la promesse de celui –ci ».En pratique l’homme s’adresse aux parents de la femme désire épouser et les informent de son intention mais les fiançailles précédente sans qu’il ne soit conclus malgré l’existence de fiançailles précédente sans qu’il ne soit susceptible d’annulation (article 4 du CSP aux fiançailles malgré l’usage en Mauritanie et le droit musulman.
La coutume dominante veut en effet que les fiançailles se terminent toujours par le mariage des deux fiancés qui ont pu se comprendre .En droit musulman les fiançailles donnent un droit de regard (la KHOULWA) (la retrouvaille dans la solitude entre un homme et une femme). La khoulwa étant interdite) En droit musulman les fiançailles donnent un droit de regard (khoulwa) le retrouvaille dans la solitude et en droit de priorité au mariage de la fiancée.
S’agissant de la formation du mariage le CSP semble distinguer entre les conditions il site parmi les premiers les deux époux le woli (le mandataire ou tuteur matrimonial).
Les autres conditions peuvent porter sur sa validité du mariage comme le témoigne et dote sur sa forme ou sa preuve .Les sanctions sont