Droit de la loi
En profiter pour opposer la loi dans les pays de droit écrit et dans les pays de la common law (en insistant tout de même sur le rapprochement du premier sur le second à travers la place prise par le juge qui n’est plus, s’il l’a déjà été, la bouche de la loi -Montesquieu).
Pour l’intérêt du sujet, évidemment plusieurs façons d’aborder la question. Une possible : la tendance observable en France et dans le reste des Etats de l’Union (hormis peut-être la GB et encore) est à une remise en cause "du" politique (Ah ! Tocqueville). Le parlement se trouvant au cœur de la vie politique, il en subit les conséquences et avec lui la loi (les candidats doivent prêter attention à ne pas focaliser sur les crises du parlementarisme français même si celles-ci doivent être mentionnées bien sûr). Compte tenu de l’emprise de la démocratie majoritaire (rôle déstabilisant des alternances pour la stabilité normative), le "salut" (garantie des droits, fonction première de la loi pour les révolutionnaires, cf DDHC) des citoyens passe toujours par la loi, mais il passe encore mieux par des règles stables supérieures (Constitution). L’Etat de droit s’est installé et avec lui une modification de la perception de la loi qui devient un acte qui