Droit de scolarité
Mi-février, la grève étudiante générale et illimitée débute dans de nombreux établissements d’enseignement supérieur pour enfin se terminer le 7 septembre 2012, ce qui en fera la plus longue de l’histoire du Québec. Ce mouvement qui défend la gratuité scolaire à prit un énorme essor lors de l’annonce par le gouvernement du Parti libéral d’une augmentation des droits de scolarité universitaires. Le mouvement social à même été assez fort pour renverser le partie politique de Jean Charest pour le gouvernement péquiste de Pauline Marois qui promet l’annulation de la hausse. En outre, le printemps érable, à entrainer beaucoup de répercussions politique, mais je me demande qui ressort vraiment gagnant de ce débat? Tout d’abord, un simple débat sur la question n’a guère été suffisant pour résoudre la problématique, des élections ont du être déclarer pour déterminer le choix des valeurs que les québécois veulent opter. Donc, je peux constater que cette crise à été très favorable pour le gouvernement de Pauline Marois qui défendait les étudiants. Par contre, elle profite du fait d’être élu, dont la majeur raison est son implication pour les études supérieurs, pour promouvoir la valeur fondamentale du partie qui est la souveraineté. Dans un autre ordre d’idée, la politique restera toujours la même peu importe qui sera au pouvoir. En effet, les fameuses promesses fait aux citoyens sont rarement tenu, ou sinon à moitié. Donc, l’annulation des frais de scolarité promit durant la campagne à subi (par grande surprise!) des modifications. Les étudiants n’auront pas tout ce qu’il leur était prévu, mais seront tout de même aider financièrement. En fait, une indexation de 3% est prévue. Donc, je crois que le gouvernement péquiste ressort très avantagé du conflit étudiant du à sa forte médiatisation qui l’aide à promouvoir ses idées de gauche. Ensuite, les étudiants qui espéraient le gel des frais de scolarité avec le nouveau gouvernement ont le droit d’être