droit des animaux
Les Droits des animaux sont la rédaction juridique des notions de protection animale ou libération animale. Ils sont fondés sur l'idée que les besoins et intérêts des autres espèces animales — se nourrir, se déplacer, se reproduire, éviter la souffrance par exemple — sont les mêmes que ceux des êtres humains1. Les défenseurs des droits des animaux jugent que ces derniers ne devraient plus être considérés comme des objets que l'on peut posséder ou utiliser, mais qu'ils devraient être considérés comme des personnes légales2 et des membres à part entière de la communauté humaine3.
L'idée d'accorder des droits aux animaux est soutenue par des professeurs de droit tels qu'Alan Dershowitz
Un animal domestique est un animal appartenant à « une espèce qui a fait l’objet d’une pression de sélection continue et constante (c'est-à-dire qui a fait l'objet d'une domestication). Ceci a permis la formation d’un groupe d’animaux qui a acquis des caractères stables, génétiquement héritables »1.
Cette définition est en réalité déduite du code de l'environnement qui dit le contraire pour les espèces animales non domestiques
Du point de vue du Droit ,il existe trois catégories d'animaux d'espèces sauvages (espèces qui n'ont pas été génétiquement modifiées par l'homme )vivant à l'état de liberté: les animaux appartenant à des espèces classées comme gibier ou de pêche, les animaux appartenant à des espèces classées comme nuisible , les animaux à effectif menacé appartenant à des espèces classées comme protégées. Les autres animaux d'espèces sauvages vivant en liberté n'appartenant à aucun de ces classements sont rien (res nullius )du point de vue du droit. C'est le livre quatrième du code de l'environnement et divers arrêtés ministériels qui réglementent en France la gestion des effectifs des populations de ces animaux. Notons que la sensiblité des animaux d'espèces sauvages vivant à l'état de liberté n'étant pas