Droit du travail

Introduction : notion récente apparu dans les années 50 et part de l’idée que le travail est ressenti à la fois comme une action libre et créatrice et comme pénible (manuel ou intellectuel peut être un besoin vital, l’occasion de réaliser une œuvre, être un moyen pour l’homme de s’accomplir). Le travail peut être une nécessité pour gagner sa vie, incompréhensible car destructeur des libertés. La vie commence donc qu’à la fin du travail, avec le loisir et le repos. Cette ambiguité de cette notion a des répercussions directes sur la notion même de relation de travail qui est en conséquence imprégnés de l’antagonisme employeur/employé. Selon que l’on se situe de coté des employées on parle de législation ouvrières employeur on parle de législation industrielle. Depuis 1950 on parle de droit du travail et évite le débat idéologique employé/employeur. Certains auteur parle de droit sociale, utilisation erroné car prenant en compte le droit du travail mais aussi le droit de sécurité sociale.

C’est un ensemble de règle juridique applicable aux relations individuelles et collectives qui naissent entre les employeurs privé ou ceux qui leurs sont assimilés et les salariés travaillants sous leur autorité.

Distinction entre travail indépendant et travail pour autrui :

Le droit du travail ne s’intéresse pas à toutes les formes du droit du travail, car il s’applique à des relations entre hommes, or tout travail ne fait pas naitre des rapports. Celui qui travail individuellement pour son propre compte (travailleur indépendant) échappe à l’emprise du droit du travail. C’est le cas du petit commerçant, de l’artisan, du médecin, ou encore de l’agriculture qui cultive sa terre.

Le droit du travail ne s’applique qu’au travail subordonnée ; travail effectué pour le compte d’autrui. Travail dépendant subordonné et relation entre l’employeur propriétaire des instruments de travail et le travailleur salarié qui est un subordonné qui exécute. Le droit du