Droit
290 mots
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Sylvie a préparé un brevet professionnel de coiffure. Aprés avoir été salariée dans un salon, elle s'est installée en nom propre. Son affaire a connu des difficultés de démarrage mais elle à su trouver une clientèle régulière et elle a séduit les jeunes filles qui fréquentent le lycée à proximité de son salon. Depuis le début de l'année, un autre salon s'est dans son quartier, un concept low cost. La clientèle jeune s'est détournée du salon de Sylvie et le chiffre d'affaire à considérablement baissé. Sylvie rencontre des problèmes de trésorerie. Son banquier ne peut plus la soutenir compte tenu de sa structure et de l'absence de biens propres qu'elle pourrait donner en garantie.Sylvie est dans une phase de profonde réflexion et songe à abandonner la coiffure. Elle a toujours développé des qualités artistiques tant dans l'approche de son métiers que dans ses loisirs. Elle s'est récemment inscrite à un atelier de création de bijoux fantaisie. Elle commence à créer des bijoux personnalisés adaptés à la demande de son entourage.
Sa fille, Marine, à fait les Beaux-arts. Elle fabrique des lampes et des appliques décorées de motifs peints à la main et réalise également des tableaux de collage de verre. Un soir, au cours d'un repas de famille, elles décident de créer leur structure. Elle apporteront ensemble 30000€
Claire, la soeur de Sylvie, de formation comptable, sera aussi de la partie, au grand dam de son époux, Mathieu. Ce dernier et Claire ce sont mariés sans contrat de mariage.
Les trois créatrices souhaitent monter ce nouveau projet ensembke. L'expérience du sallon de coiffure de Sylvie les convainc de choisir judicieusement le statut juridique de leur