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ggggggggggggggggggggggggggggggggggggggggggieux "pédagogiques" au XVIIe siècle, les Salons deviennent au XVIIIe siècle (Mme Geoffrin, Mme du Deffand, Julie de Lespinasse, Mme Necker...) des "caisses de résonance" pour les auteurs, savants et artistes. Ils sont caractérisés par la mixité intellectuelle ; des femmes s'y expriment, y trouvent une occasion de satisfaire leur soif de savoir, (certaines parviendront à aller assez loin, au XVIIIe, dans la connaissance des sciences), y entretiennent les hommes de leur vision du monde. Le langage s'y polit ; il se doit d'être clair, agréable, et se plie aux règles du jeu permanent qu'est la conversation. Une minorité de femmes peut ainsi participer de l'élite. Cependant, si certaines sont tentées de passer "de la conversation à la création" (Claude Dulong), leurs productions littéraires, rares, se doivent de rester anonymes. Il en est ainsi de Mme de Lafayette avec La Princesse de Clèves, roman paru en I678.ggggggggggggggggggggggggggggggggggieux "pédagogiques" au XVIIe siècle, les Salons deviennent au XVIIIe siècle (Mme Geoffrin, Mme du Deffand, Julie de Lespinasse, Mme Necker...) des "caisses de résonance" pour les auteurs, savants et artistes. Ils sont caractérisés par la mixité intellectuelle ; des femmes s'y expriment, y trouvent une occasion de satisfaire leur soif de savoir, (certaines parviendront à aller assez loin, au XVIIIe, dans la connaissance des sciences), y entretiennent les hommes de leur vision du monde. Le langage s'y polit ; il se doit d'être clair, agréable, et se plie aux règles du jeu permanent qu'est la conversation. Une minorité de femmes peut ainsi participer de l'élite. Cependant, si certaines sont tentées de passer "de la conversation à la création" (Claude Dulong), leurs productions littéraires, rares, se doivent de rester anonymes. Il en est ainsi de