Début d'essai sur la politique française
Un monde, notre monde, un monde qu’on nous promet, un monde de lumière et de joie.
Une illusion sans nul doute. Illusion permise par la naïveté des uns et la lâcheté des autres.
Voilà donc l’ultime fonction du politique. Du politicien. Du politicard. Ré-enchanter le rêve, disait notre président fantomatique. Bercer tout un peuple d’illusions, tel est le pari fou fait par cet homme au charisme inexistant. Un individu talentueux, certes, orateur ridicule mais esprit brillantissime que certains osent affubler de sobriquets innommables. On peut être favorable à une logique de gauche, vouloir aider le peuple, lequel vit dans une misère indéniable, mais on peut aussi souligner le ridicule de certaines petites gens, sous-diplômées, aux capacités infiniment limitées et qui se permettent de vitupérer de la sorte un énarque, c’est-à-dire un des hommes les plus brillants de notre pays. La difficulté du parcours l’atteste, ceci ne peut lui être enlevé. Notre président a fait ses preuves, c’est un homme de grand talent. Seuls les idiots ne peuvent entendre cela.
Le voilà donc porté par la détestation ô combien méritée de Sarkozy. Aidé il est vrai par les pulsions animales de celui qui fut un économiste renommé, mais aveuglé par le pouvoir, lequel lui a permis il est vrai d’aveugler une modeste femme de chambre. Paradoxe étonnant quand on sait que dorénavant, modeste elle n’est plus alors que sa réputation, à Lui, est définitivement ruinée. Du moins en France. Enfin aux States également. Sans oublier le reste du monde qui n’a pu que se délecter des malheurs de ce sinistre individu. Bref nos médias droitisés ne sont pas prêts de nous annoncer une victoire de DomiNique en 2017.
Hollande fraîchement élu nous gouverne donc d’une main de velours dans un gant de fer. A savoir des actions inexistantes, mais des sensations douloureuses procurées par ce gant, conçu certainement par Thatcher ou Merkel. Enfin l’une des deux. Voire par les deux, Merkel