La mondialisation croissante de l'économie a accéléré le développement des échanges internationaux. La forte concurrence sur les marchés de consommation ont poussé les industries à améliorer leur compétitivité.
Prenons exemple sur l'entreprise de Renault qui fabrique aujourd'hui que 29% de ses moteurs en France.

Comment et dans quels buts Renault choisit -il- la délocalisation ?

En 1966 Renault avait la majorité de sa production en France. Entre 1899 et 1929 il y a l'installation de la société Renault à Boulogne-Billancourt, puis extension sur l'île Séguin. Pendant les années 2000, Renault souhaite accroître sa présence dans les marchés émergents considérés comme porteurs, il envisage donc la construction d’usines en Iran, en Colombie et au Maroc.
Entre 1970 et 1977, on trouve des créations d'usines au Mexique, en Grande-Bretagne, en Espagne, au Portugal et en Belgique. En 1999 de nouvelles ouvertures d'usines ( Turquie, Brésil, Argentine), puis le groupe prend la 4eme position mondiale avec le rachat Dacia ( en Roumanie) et Samsung (Corée). Aujourd'hui il ne reste que 20% de la production en France, soit 80% délocalisés.

L'entreprise a choisit de délocaliser vers tout type de pays car elle a de nombreux objectifs: Répondre à de nouveaux besoins, conquérir de nouveaux marchés, diversifier ses débouchés, augmenter son chiffre d'affaire et vise a diminuer ses coûts de production.
Tout d'abord les actionnaires ont moins de profit dans le pays où ils sont, donc soit l'entreprise fait faillite , soit elle se délocalise. Une fois délocalisé, placé dans les pays émergents, Renault crée des véhicules adaptés aux spécificités prix et technique des marchés visés, utilise une main d'œuvre moins chere et donc produit plus. De plus, les entreprises placées dans les pays riches attirent beaucoup de clientèles et donc produisent aussi plus. Sachant qu'en France, les salariés demandent un salaire plus élevé que dans les pays émergent, les actionnaires de ces