Echanges internationaux
L’économie du développement s’est radicalisée au cours des années 1960.
Le sous-développement est alors vu comme la résultante de causes externes. Plusieurs théories vont dans ce sens (théorie de l’échange inégal, théorie de l’indépendance, analyse centre-périphérie …). - L’analyse d’inspiration libérale : le sous-développement est considéré comme un retard de développement, néanmoins pour les économistes libéraux, la portabilité du développement passe entre autres par une transformation des mentalités mais également du recours aux mentalités, l’insertion dans les échanges internationaux grâce à l’émergence d’entrepreneurs individuels. L’optimisme libéral conduit même à espérer que le développement des pays occidentaux entraine nécessairement celui des nations retardées de notre planète. C’est le principe de la croissance transmise. Certains économistes considèrent le développement comme un processus linéaire : toute société doit passer par les mêmes étapes de développement. - Le sous-développement comme spécificité historique est le produit de l’impérialisme :
Le problème soulevé par les théoriciens est le partage des richesses à l’échelle mondiale. En effet les échanges sont dominés par les pays industrialisés et contribuent à l’accroissement des inégalités et à la dépendance du tiers-monde dans la division internationale du travail.
Certain économistes considère comme un processus linéaire c'est-à-dire que toute les sociétés doivent passer par les mêmes étapes de développement. Pour les économistes libéraux, la possibilité de développement passe par une transformation des mentalité. Le recourt au marché, l’insertion dans les échanges internationaux, tout cela grâce à l’émergence d’entrepreneur individuel. Alors le modèle de Rustoff présente les différentes étapes de la croissance économique. Cette économiste décrit l’évolution économique par laquelle doit passer toute société. Selon