Ecole des femme
Nous nous interrogerons tout d’abord au comique de situation par Horace et Arnolphe pour ensuite parler de dimension satirique du passage.
I)
Au début de la scène Arnolphe ravi pour son ami écoute Horace lui décrire la fille qu’il aime v. 317 »… ». Lorsqu’il apprend que c’est Agnès v.326, il change de comportement et perd sa bonne humeur on le remarque grâce aux apartés. V.328 « … » exprime sa jalousie et v.332 « … » dénonce la trahison de son ami. Au v.349 Horace se pose des questions sur le comportement d’Arnolphe, et l’interprète comme de la lassitude.
L’extrait est fondé sur un quiproquo qui apparaît lorsqu’Horace révèle le nom de celle qu’il aime, Agnès, à Arnolphe. En effet Horace ignore que se dernier est aussi le M. de la souche qui séquestre Agnès. Les v.328 et 331 appuient le quiproquo. Arnolphe bien décidé à tout découvrir réplique avec un comique de langage v.333. Il est surpris par ce qu’il vient d’apprendre sur lui et reste abasourdi v.334. Aux v.343.344 Horace explique à Arnolphe que l’argent qu’il lui a emprunté sera utilisé pour libérer Agnès. Et v.349 350 « ... » il ose en plus lui demander son avis loin d’imaginer sa vrai personnalité.
II)
Dans cet extrait Horace décrit Agnès comme un objet v. 318 et également avec des métaphores hyperboliques comme aux v.322 « … », v.326 « ... ». La plupart de ces métaphores appartiennent aux clichés précieux comme « objet », « astre », « bijou ». Au v.344 Horace décrit Agnès comme un objet a vendre. Car au début de la scène la rencontre entre Horace et Arnolphe est tourneé pour sur un emprunt sans explication mais il s’explique aux vers 343 344 345 346.
Horace fais la description de M. de la