Ecole
Pour débuter, l’auteur démontre qu’Arlequin conserve un sentiment d’infériorité conforme à sa situation d’esclave. En effet, on constate qu’il dénigre son propre statut de maître. Lorsque Euphrosine ressent du malheur, Arlequin est prêt à se rabaisser : « Hélas! Je me mettrais à genoux devant lui. » (p.68). Métaphoriquement parlant, il sera prêt à se mettre à genoux devant la misère d’Euphrosine, ce qui n’est pas conforme à un comportement d’un maître. Plutôt elle devrait s’abaisser en tant qu’esclave. Ainsi, on on voit aussi qu’Arlequin démontre des comportements mendiants. Faisant une déclaration d’amour à Euphrosine, il dit : « […] si vous aviez la charité d’être tendre aussi […]» (p.67). Dans la métaphore suivant, il tente de faire comprendre à Euphrosine qu’il lui demande la charité de son cœur, être tendre envers lui. Un maître normalement ne demande pas de la charité, car il est riche, mais dans ce cas il prend une attitude de pauvre.
Pour continuer, voyons comment Euphrosine conservera une mentalité de noble dans la pièce. Effectivement, on peut voir qu’elle exige qu’on lui donne du respect. En parlant à Arlequin elle dit : «Respecte donc le malheur que j’éprouve. » (p.68). Suite à cette citation, on constate, au sens figuré, qu’en tant qu’esclave, Euphrosine demande le respect a Arlequin. Ce qui à la