Ecriture d'invention julien sorel
« Je veux m’en allais, partir loin de mon père, de mes frères et de cette maudite scierie. Quand mon père comprendra t-il que je ne suis pas fait pour ça, il a pourtant bien remarqué que je ne suis pas comme mes frères, ma taille mince n’est pas propre aux travaux de force, mon attention pour un livre est bien plus fort que pour une scie. Je n’ai jamais réussis a m’intéressé a la façon de découper du bois ou encore au fonctionnement de ces machines et l’action de tout se mécanisme. Ma place n’est pas aux cotés de mon père, mes frères et leurs machines mais bien le nez plongé dans mes livres. Ce monde n’est pas le mien, je suis tellement différent de tout ça.
J’aimerai tant pouvoir faire de ma vie se dont j’ai réellement envie, partir ailleurs et ne plus jamais revenir. Mon père s’imagine sans doute pouvoir compter sur moi le jour ou il sera trop âgé, que ses jambes n’auront plus l’énergie de le maintenir sur ces pieds, que son dos courbé le fera souffrir et qu’il n’aura plus la force de porter le poids de la scie, mais non, mes frères devront se débrouiller tout seul et sans mon aide pour que l’usine continue a fonctionner comme à ce jour. Mon père désir que je suive la ligné de la famille, que je m’empare de la vie de cette scierie tout comme lui s’en est occupé lorsqu’il l’a hérité de mon grand père qui l’avait construit lui aussi avec son propre père. Il souhaiterait que je mène la même vie que lui, mais je suis loin d’être fait pour cela. Je me suis bien entendu déjà imaginais rester ici, et leurs venir en aide en m’occupant de tout les écris, les dossiers et les archives de la scierie mais mon père n’a pas trouvé cela utile. De tout manière, j’ai toujours pensé qu’ils ne méritent pas mon