Ecriture d'invention, suite aux champs
868 mots
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Quelques jours plus tard, Jean, qui avait entendu la rancune de Charlot envers ses parents, décida d’aller le trouver pour discuter de leurs enfances respectives. Jean alla frapper à la porte de la famille Tuvache et demanda à voir Charlot. Mme Tuvache eu un moment d’hésitation, méprisa fortement Jean puis appela son fils, à l’intérieur de la petite chaumière tous les regards étaient portés sur Jean, les deux filles aînées le dévisageaient de haut en bas.. Jean était, à vrai dire, vêtu de façon très élégante pour venir frapper a la porte de petits paysans comme les Tuvache, mais Charlot fit un effort et vint lui demander ce qu’il voulait. Jean lui expliqua qu’il aimerait parler avec lui de ce qu’ils avaient vécu chacun de leur côté durant leur enfance, il lui proposa de l’emmener boire un verre en ville. Charlot accepta après quelques secondes de réflexion.. Jean en fut ravi, il le fit monter dans sa voiture et se mit en route. Durant le voyage, les deux hommes ne se décrochèrent pas un seul mot. Une fois arrivés dans une petite brasserie, Jean commanda deux chopes de bière. Charlot au départ fut un peu mal à l’aise car il était en fasse d’un homme qu’il avait connu pauvre, sale et gamin. Il se retrouve aujourd’hui en fasse d’un beau jeune homme riche, propre sur lui et très adulte, voir trop adulte.. Jean engagea la conversation :-« Alors, dis moi un peu ce que tu deviens, qu’as-tu fais pendant ces 17 longues années ?
-Je n’ai pas changé moi, je suis resté à m’occuper de ma famille, j’ai travaillé dur pour à la fin en être toujours au même point. Tandis que toi tu n’as pas eu besoin de travailler et aujourd’hui tu es riche, tu as vécu comme un petit prince pendant 17 ans, te rends-tu compte au moins de la chance que tu as eu ?
-Bien sur que je m’en rends compte, au départ j’en jouais j’étais heureux, je faisais ce que je voulais et je n’avais pas besoin de faire grand-chose, mis à part de travailler à l’école. Mais sais-tu au moins le mal que ça fait de savoir