Ce jour la, les rues etaient tristes, il n'yavait point d'enfants qui jouait dehors. Et en arrivant a la cimitiere je vis cette masse noire de personnes reunies autour de ce petit cercueil, je me fondis dans la foule attendant l'arrivee du pretre. Le temps se prolengea alors je decidai de prendre la parole et derappeler ces gens qui etait gavroche, cet enfant dont son ame avait ete volee hier. J'avancai, montai pres du creux ou allais etre enterre gavroche et dit: "chers amis, nous allons aujourd'hui enterres notre ami c'est une triste grande cause. Aujourd'hui chers compatriotes nous avons tous perdu un etre cher, un sourire eternel. Celui que nommions gavroche etait plus qu'un simple enfantde douze ans, il etait la vie qui soufflait dans nos rues, le bonheur qui nous faisait oublier l'injustice, notre petit camarade de guerre. Masis cette guerre qui lui vola son ame, nous priva de vivre. Car comment vivre sans lui? Qui animera nos marche? Qui enervera la garde nationale au bonheur de tous? Qui creera de rumeurs troublant tout le monde? Qui nous fera rire quand la pittraille prendera vie devant nous afin de nous perce? Dites-moi qui?"
La foule s'agita et un brouhaha s'eleva, les uns chuchoterent et les autres pousserent des cris de douleur puis je continuai apres que le calme fut etablit:"GAvroche ets mort! Nul ne pourra remedier a cela! Mais neomoins nous pouvonsvenger son sang qui hier a arrose notre patrie et s'est mele aux sang des plus grands heros, il a certes vecu pauvre mais il est mort noblement grace a ses actes heroiques et courageux."
Une vague d'applaudisselent me coupa la paroel et j'apercus de loin le pretre alors je repris ma place et je me fondis de nouveaux dans la foule afin d'assister a l'enterrement de notre petit