Des crimes artistiquesJ’ai toujours aimée peindre ou dessiner. De beaux paysages comme des sombres visage. J’adore représenter la laideur du monde par des coups infligé à la ma toile. Et la beauté du temps par mes traits fin et soigné. Pour moi l’art est mon être. Car sans lui je n’existe pas.J’ai commencé à dessiner tôt, vraiment tôt. D’après les personnes qui m’ont élevé, je traçais déjà des bonhommes dans ma purée à peine entamé. Mais j’ai bien vite arrêté car sinon on me réprimandait. J’ai grandi …afficher plus de contenu…

Relevant la tête un énorme lac s’étendait à perte de vue. Le reflet de la lune sur l’eau me permis d’y voir plus clair. J’étais encore sous le choc. Comment étais-ce possible ? Ce n’était peut-être qu’une coïncidence ? Ce n’est peut-être qu’un rêve. Un tas de questions me vinrent à l’esprits, mais je n’avais pas de réponse claire. Je m’agenouillais sur le bord du lac et pencha ma tête pour me débarbouiller. Je vis mon reflet bercé par les vibrations de l’eau. Sur mon visage, des résidus de cendre encore fraiche. C’était bel et bien arrivé. Pris de panique mon pied glissa sur le rebord et je m’enfouie dans cette eau glacée et noircis par la nuit. Je me sentais tombé lentement mais c’était une sensation plutôt …afficher plus de contenu…

Après m’être douché, je me coiffe devant mon miroir et enfile un long manteau noir. Je me rends chez un ami à moi. Il vend toutes sortes d’objets et de bricole pour les artistes comme moi qui n’ont pas les moyens d’aller dans les grandes enseignes. Je m’y rends pour acheter des palettes et de la peinture. Ainsi que des toiles très spécial. Elles sont comme magiques. Ce soir, après avoir regardé le journal télévisé je me mets à peindre. Je peins jusqu’à ce que mes bras s’écroulent de fatigue, jusqu’à ce que je sois aveuglé par la peinture projetée sur mon visage jusqu’à ce que j’obtienne le résultat que je