Edmond Rostand
La ferme était délabrée. La grange où les animaux étaient entreposés pour l’hiver fût ravagée par la neige, le vent et la grêle. Les champs de raisins, d’aubergines, de carottes étaient tellement touchés que il fallut les changés après les mauvais jours. La petite maison où mes grands-parents habitaient, tenait le coup grâce à une bonne architecture et des piliers porteurs situés aux 4 coins de la maison et en plein milieu. La maison était simple. Une cheminée a droite, un canapé à gauche et la table a manger au fond avec 4 chaises les unes plus pourries que les autres.
Mon arrière grand-père s’appelait Francis et ma grand-mère Micheline. Grand-père était marqué par le travail acharné, les cheveux blancs, il mesurait un mètre quatre-vingt. Ma grand-mère était une femme vaillante qui ressemblait à mon grand-père.
Les parents de ma grand-mère avaient demandé 20 années plus tôt un orphelin pour aider aux tâches ménagères. Ils envoyèrent une lettre de demande d’adolescents jeune, plein d’énergie. La réponse de l’assistance publique fut rapide. Deux semaines plus tard un jeune adolescent de 13 ans était sur le palier de la porte. Le froid lui dévorait ses oreilles.
Des années passèrent et la fidélité d’André restait gravée pour ma famille. Il travaillait durement et la technologie arrivée. Les tracteurs, les moissonneuses-batteuses, etc.. Il n’était pas habitué a cette technologie et devait apprendre a faire avec. C’est un jour d’été où André devait utiliser la machine pour retirer les salades du sol et c’était un jour de canicule. André passa la machine quand la porte était bloquée à cause du loquet. La chaleur du soleil reflétait par les vitres