Elle s'appellait sarah
Lors de ses recherches, elle va tomber sur la jeune Sarah. Sarah, déportée, qui vivait avec ses parents à Paris et qui a connu l’enfer du Vel d’Hiv.
Julia va apprendre que Sarah vivait dans l’appartement où elle doit emménager et qui appartient depuis juillet 1942 à la famille de son mari. Julia va tout faire pour retrouver Sarah et tenter de lui expliquer que la famille de son mari est innocente et tient à s’excuser.
Un résumé court pour un roman qui se révèle poignant. Tatiana de Rosnay mêle des éléments véridiques (le Vel d’Hiv) à une histoire. La quête de Julia pour retrouver Sarah coûte que coûte, quitte à mettre à jour de sombres secrets de famille, ceux de sa famille par alliance et ceux de la famille de Sarah.
Les chapitres sont courts. La moitié du roman mêle le présent et l’enquête de Julia et ce qui arrive à Sarah. La descente de police dans son appartement, le départ pour le Vel d’Hiv sans son petit frère qu’elle a enfermé dans un placard en lui promettant de revenir, les quelques jours au Vel d’Hiv, le départ pour les camps, la séparation d’avec ses parents et sa