Eloge à sa grand-mère
Ô ma chère grand-mère, je te loue une profonde admiration. Tu es si exceptionnelle, unique et irremplaçable. Puisque tu exaltes la douceur et la gentillesse.
Toutefois, j’admets que tu ne respectes pas les horaires et que tu es distraite.
Mais, ton enfance difficile permet de glorifier ton courage et ton abnégation. Ainsi qu’être l’aînée de six enfants à valoriser ta générosité, ta fiabilité et ton amour. En effet, tu as l’instinct maternel d’une lionne et un rire doux comme la brise. D’autre part, ta loyauté et ton amitié sont célébrés dans ta petite enfance, lorsque ta mère te mis au pensionnat. Puis, tu as également appris à te défendre et à être prudente. Entre eux, les enfants ne sont-ils pas mauvais comme la peste ? Heureusement, tu incarnes la sagesse et toute nature revit après ton passage. Mais, quelques années après, ta mère eut besoin de toi, de ton aide. Alors, l’école s’éloigna. Bien sûr, tes parents t’ont enlevée les études, mais non l’ambition. Puisque tu auras toujours cette soif de savoir qui te permettra de trouver un travail dans ta vie future. Néanmoins, une partie de ton enfance sera gâchée. Perdue !
Malgré tout cela, tu atteignis un âge mûr où tu découvris une passion. L’art. Enfin, ton esprit pu s’épanouir tel une rose pourpre. Oui, grâce à la peinture, tu as trouvé sérénité, bien-être et béatitude. Ainsi, un monde nouveau s’est ouvert où les douces colombes de ton cœur se sont envolées. Mais, tu dus travailler ardemment pour que tes mains puissent suivre la promptitude de ton esprit. Toutefois, ton travail fut récompensé par de nombreux prix lors d’expositions. D’ailleurs, avec l’expérience, tu exposes des tableaux à Paris et à New York ! Ces villes ne sont-elles pas majestueuses ? Bien sûr, celles-ci sont imposantes, mais non merveilleuses comme toi. Puisque, chaque nuit lorsque les papillons dorés apparaissent, tu entres dans une autre dimension, celle de la peinture.
Ainsi, ma chère grand-mère, je te remercie