Emile- il n' y a pas de pervetsité originelle dans le cour humain
J'ai partage le texte en cinq paragraphe:
Les défauts dans l'éducation La libérté bien réglé comme outil Pourquoi il est contre certains méthodes( il est très concrèt) Dès que les educateurs ne sont plus là, les élèves se comportent différents La maxime de Rousseau que l'homme est bien comme il vient de la nature
Au premier paragraphe l'auteur critique l'éducation traditionelle. Il est contre les moyens qui sont utilisés pour pousser les enfants à être meilleure. L'auteur fait une énumeration de ces moyens de la ligne 1 à la ligne 3 pour faire cela il a utilisé une figure du style. L'anaphore:c'est toujours la répétition du aricle "la"..... l'émulation, la jalousie, l'envie, la vanité, l'avidité, la vile crainte. Il dit que ce sont les passion qui rend un enfant mauvais.
Il nous donne aussi un image par une métaphore à la ligne 6. ...on plante un vice au fond de leur coeur.
Au dernier ligne de cette paragraphe il a utilisé une anaphore: Tel est l'homme. Oui, tel est l'homme que vous avait fait. Par cela, il dit que ce sont les éducateurs qui sont responsable pour ces defaults là.
Le deuxième paragraphe l'auteur présente l'outil qui est pour lui la propre solution. C'est la libérté bien reglée. Cela veut dire qu'on régle la libérté d'un enfant mais pour faire cela il est nécessaire de voire les limites d'un enfant. Ces limites ne sont pas obvies. La sphère de l'un et de l'autre lui étant également inconnue.... Premièrement il faut que les éducateurs voient ce qu'un enfant peut et ce qu'un enfant ne peut pas. L'éducateur change la libérté comme il veut...on l'étend, on la ressere autour de lui. Ici Rousseau a utilisé une figure du style l'anaphore. Et il l'a utilisé encore une fois pour montre l'effet de cet outil. On l'enchaine, on le pousse, on le retient...on le rend souple....Les élèves sont obéissants par la seul force de choses.
Au troisième paragraphe