Emile zola la bête humaine
Pour commencer, nous pouvons relevé, dans ce texte, des figures de style qui caractérisent la locomotive : « ressuscitait » (ligne 3), qui représente le personnage, et « mourir » (ligne 3), qui représente la Lison, sont deux expressions qui s’opposent, et représente des êtres vivants. Ensuite, nous avons : « Elle avait la fin tragique d’une bête de luxe » (ligne 11) , cette métaphore compare la locomotive à une bête, à un être vivant. De plus, « Le souffle [...] s’achevait en une petite plainte d’enfant qui pleure » (ligne 9) , cette métaphore nous montre bien que l’auteur compare les bruits de la Lison à celui d’un enfant. Ensuite, nous avons différentes figures de style qui décrivent encore le côté humain du train : « fonctionner ses organes » (ligne 12), « les pistons battre comme deux coeurs jumeaux » (ligne 13), « la vapeur circuler dans les tiroirs comme le sang de ses veines » (ligne 13), « pareilles à des bras convulsifs » (ligne 13-14), nous pouvons remarquer que l’auteur compare les différentes parties de la Lison à différentes parties du corps humain pour faire de cet objet un être vivant, un personnage à