En premier lieu, le narrateur fantastique cherche à donner une explication naturelle aux situations troubles. Dans « Le Revenant », le narrateur utilise le vent pour démontrer que le climat est apeurant, que le vent est dévastateur et qu’il est terrifié par celui-ci. Cette explication est montré par la citation suivante : « [...] sous une voûte de sapins dont le vent déchaîné tirait des hurlements ». (L.3-4) « Dans cette citation, il y a une personnification du vent car on lui attribut des actions humaines dont les hurlements. De plus, « Entre les cimes, je voyais courir des nuages en déroute, des nuages éperdus qui semblaient fuir devant une épouvante ».( L. 4-5) Cet extrait montre aussi que le vent rend l’environnement épouvantable et que c’est à cause de celui-ci qu’il y a autant de ravages et que le temps semble si horrible et souffrant. Ensuite, le narrateur utilise le vent pour montrer une cause naturelle qui rend l’homme si tourmenté et angoissé. On peut voir cette affirmation par la citation : « le froid m’envahissait, malgré mon pas rapide et mon lourd vêtement ». (L. 6-7) Par ailleurs, dans « Des pas lourds dans l’escalier », la pluie est utilisée pour montrer le changement de température et que le temps est sombre. Cette explication naturelle est démontré par l’extrait qui suit : « [...] et la pluie commençait à tomber avec force». (L.36) Aussi, cette pluie est employée comme cause de maladie et comme une raison de mal-être. La citation suivante le démontre : « [...] m’en arriver c’est d’être trempé jusqu’aux os et d’attraper un bon rhume». (L.40-41) Dans cette citation, il y a une hyperbole afin de montrer qu’il est très trempé, mais il est impossible que ce soit jusqu’aux os. De plus, le narrateur utilise le feu comme explication naturelle. Dans la citation suivante : « Mon ivrogne aura mis le feu quelque part pensais-je en sautant en bas de mon lit » (L.75), le narrateur montre qu’à cause des cris qu’il a entendu, le feu en était la