En quoi suis-je concernée par les désirs d'autruis
Nous éprouvons sans cesse des désirs, ils sont inscrits dans nos modes de vie, dans le monde qui nous entoure. Dans notre société post-moderne, la société de consommation survalorise les désirs comme dans la publicité ou le cinéma. Nous pourrions penser que le désir est propre à chaque être humain, et qu’il n’a aucune influence sur le monde dans lequel il vit avec ses semblables. Le désir est une tension vers un but considéré comme une source de satisfaction. C’est une tendance devenue consciente d’elle-même, accompagnée de la représentation du but à atteindre. En tant que tendance ou appétit, le désir est distingué du besoalter ego, est un autre moi, c’est-à-dire un moi différent du mien mais un moi quand même. En possédait un, suppose donc que j’ai conscience de moi et que je pense cet autre comme un individu semblable, sans tenir compte de son origine géographie et culturelle. Sartre, écrivain et philosophe français, a dit qu’autrui « c’est l’autre, c’est-à-dire le moi qui n’est pas moi ». Si l’on admet ces définitions, on admet qu’autrui nous ressemble, et possèderait des désirs qui pourraient influer sur les miens me et donc sur ma liberté. La deuxième expliquant le fait, que les désirs d’autrui ne sont finalement qu’un prétexte pour combler mes propres désirs, par cela les désirs se montreraient comme un réel cercle vicieux dont nous sommes prisonniers. La troisième partie montrant que mes désirs sont dépendants de ceux d’autrui, mais qu’ils sont tout de même l’essence de l’homme, comme le dit