En quoi le parcours de Katherine Johnson illustre-t-il ?
Avant tout, la connaissance peut être défini comme l’ensemble des domaines où s’exerce l’activité d’apprendre. I- Les difficultés d’accès à l’éducation pour les femmes Environ 2/3 des 750M de personnes analphabètes (qui ne savent pas lire ou écrire) sont des femmes, on remarque notamment cela en Afrique subsaharienne ou au Moyen-Orient. De nombreux obstacles existent à l’alphabétisation des femmes tels que les obstacles socio-culturels (familles sont certaines fois plus réticentes à investir dans l’éducation des filles car on considère qu’elles sont destinées à se marier jeunes), des obstacles liés aux préjugés sexistes et racistes… C’est notamment ce à quoi est confrontée Katherine …afficher plus de contenu…
La connaissance pour les États est un moyen d’affirmer une puissance économique, cela permet concrètement de générer de la croissance ou encore d’attirer des investisseurs. C’est un moyen également d’affirmer sa puissance géopolitique à travers le soft power, la monnaie d’échange et le partage de brevets. La connaissance est un enjeu de puissance principal notamment en pleine GF. La NACA (National Comitee for Aeronautics) qui deviendra par la suite NASA recrute de nombreuses enseignantes en mathématiques afin de devancer les Russes dans la course à l’espace. L’espace est considéré comme un moyen de pouvoir espionner facilement ses adversaires. Katherine Johnson va ainsi intégrer en 1953 la NASA en tant que calculatrice, elle est ainsi chargée de vérifier les calculs des ingénieurs. Katherine Johnson étant brillante