1. Citez 5 adjectifs qui permettent de qualifier, selon vous, la notion de « BONS PARENTS OU EDUCATEURS ». Les adjectifs qui pourraient qualifier les « bons parents ou bons éducateurs » sont selon moi : Responsables : ils sont les seuls à pouvoir assurer l’éducation qu’ils souhaitent donner, ainsi que le bien-être de leurs enfants. Lucides : ils sont conscients qu’ils ne possèdent pas parfaitement la science de l’éducation, qu’ils font des erreurs et qu’il n’y a pas de formule miracle en la matière. De plus, ils savent que les enfants ne le resteront pas, qu’ils évoluent lentement vers l’autonomie. Ils ont aussi conscience de la nécessité de se former et/ou de se renseigner. Humains : ils ont des limites de tolérance et de patience, ils font des erreurs et savent le reconnaître. Confiants : par rapport à eux-mêmes, à leurs capacités à éduquer et permettre le développement harmonieux des enfants dont ils ont la charge, mais aussi par rapport à leur avenir et à celui de leurs enfants. Sereins face à leurs choix et leurs méthodes éducatives.

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2. Pourquoi l’enfant a-t-il toujours recours au chantage affectif ? Le chantage affectif permet à l’enfant de tester les limites imposées par ses éducateurs. Il a besoin de repères fixes et de règles pour se construire harmonieusement, mais il doit en même temps gagner progressivement en autonomie. Ainsi, par le chantage affectif, il teste ses capacités et cherche à accroître son autonomie en poussant ses parents à céder sur les interdits et les limites imposés. Afin que tout soit clair dans la relation entre lui et l’adulte, il est nécessaire de prendre du temps pour discuter et fixer ensemble les barrières à ne pas franchir, ainsi que les raisons pour lesquelles elles sont choisies et les risques encourus en cas de transgression. 3. Faut-il toujours récompenser les enfants ? Présentez les avantages et les inconvénients. Récompenser toujours l’enfant ne me paraît pas être une bonne solution. La récompense