Enki bilal
1960 : Emménagement à Paris avec sa famille.
1967 : Les Bilal sont naturalisés.
1972 : Après un passage éclair aux Beaux-Arts, Enki Bilal publie sa première histoire, « Le Bol maudit », dans le journal Pilote.
1975 : Rencontre avec le scénariste Pierre Christin. Premier album.
1980 : Première série personnelle, dans Pilote, La Foire aux immortels. La seconde partie, La Femme piège, est éditée en album en 1986. Parallèlement, la collaboration entre Bilal et Christin se poursuit. Ils réalisent notamment, pour les éditions Dargaud et Autrement, plusieurs ouvrages d'illustrations et de photos détournées (Los Angeles, L'Étoile oubliée de Laurie Bloom ; Cœurs sanglants).
1982 : Enki Bilal dessine sur verre une partie des décors de La vie est un roman, film d'Alain Resnais. Deux ans plus tôt, il avait signé l'affiche d'un autre film du même, Mon oncle d'Amérique.
1984 : Enki Bilal se fait journaliste à Libération le temps d'une interview de Gérard Manset auteur-compositeur-interprète. Bilal avait déjà au début des années 1970 créé une illustration sur le thème de La mort d'Orion (album de Manset) et illustrera la pochette d'un disque hommage en 1996.
1985 : Il fait des recherches graphiques pour Le Nom de la rose, le film de Jean-Jacques Annaud d'après le roman d'Umberto Eco.
Janvier 1987 : Bilal obtient le Grand Prix du 14e Salon international de la bande dessinée d'Angoulême.
1990 : Bilal dessine les décors et costumes de Roméo et Juliette de Prokofiev, sur une chorégraphie de son ami Angelin Preljocaj.
Novembre 1991 : Opéra bulle, deux