L'alambic Dans la plupart des textes dans la fresque des Rougons-Macquart, Zola s'attache à raconter l'histoire d'un membre de la lignée qu'il fait évoluer dans un milieu social précis, l'écrivain voulant ainsi montrer la manière dont se combine les influences de l'hérédité et du milieu sur l'individu. Chaque roman aborde ainsi de manière S et avec une volonté d'objectivité un milieu social particulier et délier des sujets différents. Pour mieux étudier dans l'Assommoir les ravages de l'alcoolisme, Zola met d'abord ses personnages en situation de refus vis à vis de l'alcool. Ils ont en effet des raisons pour craindre les effets de la boisson, la tentation apparaît néanmoins sous la forme d'une habitude innocente mais surtout à travers la présence fascinante et inquiétante de l'alambic comme une sorte de monstre qui attend ses victimes chez le père Colombe. Dans le chapitre II, construit sur un double mouvement de rejet et d'attirance de l'alcool tandis que se dessine Coupeau et Gervaise, des rêves vagues, une vie honnête et tranquille. Ainsi sont posés des éléments du drame. Narration entrecoupée de récit rapporté retrace une scène, sans que le lecteur ait une prémonition ce sont les dégoûts communs de l'alcool et la proximité de l 'alcool que forme le couple Coupeau/Gervaise. Les personnages sont bientôt indissociable, en effet l'alambic du père Colombe est au centre du passage. Dès la présentation de l'appareil, on pressent son apparence et le rôle symbolique qu'il va jouer dans le roman. Il s'agira de montrer comment Zola fait une situation très travaillée, intègre ses personnages au monde de l'alcool et fait de cette rencontre→moment essentiel en confèrent ce passage une importance symbolique grâce à la présentation de l'Assommoir. 1ère partie I L'art de la mise en situation Description à travers les personnages →procédé focalisation interne par de propre jugement:pensée. Seul contre les personnages. Alternance récit /discours