Epicure
L'eud?onisme est une morale qui fait du bonheur la valeur supr?e, la finalitultime. L'?icurisme est en outre un ? h?onisme ? : le bonheur r?ide dans l'optimum du plaisir.
L'aponie d?igne l'absence de toute douleur physique, l'ataraxie l'absence de trouble de l'?e (craintes, frustrations). Cela constitue les deux aspects du bonheur selon Epicure.
Il faut philosopher quand on est jeune selon l'auteur pour prendre soin de son ?e et ?re heureux : la philosophie apaise notamment les craintes li?s l'avenir pour les plus jeunes.
On cherche ?re heureux parce que le bonheur est le Souverain Bien : quand on le poss?e, on a tout ce qu'on peut d?irer. Quand il nous manque, on d?ire le poss?er. Le savoir permet d'?re heureux selon Epicure. En effet, le bonheur selon lui est produit par certaines causes qu'il suffit d'?udier : il est alors toujours accessible. Epicure a une conception m?aniste du bonheur : les m?es causes produisent les m?es effets.
La raison permet d'?adiquer les souffrances li?s l'opinion, aux pr?ug?. Par exemple les craintes, celles des dieux, celles de la mort ; ou les insatisfactions mat?ielles.
Ce qui peut compl?er l'usage de la raison (soin de l'?e), c'est l'hygi?e, la di??ique, l'exercice physique (soin du corps). Le rep?e th?rique/pratique est ici pertinent.
Les dieux selon Epicure n'influent pas sur notre vie : nous n'avons donc pas les craindre, ils ne peuvent nuire notre bonheur sur terre.
L'opinion commune concernant les dieux consistent croire qu'ils nous jugent comme les hommes le font entre eux : c'est faire preuve d'anthropomorphisme. Telle est l'origine de leur erreur.
Non, on ne peut pas faire l'exp?ience de la mort : L'exp?ience de toute chose consiste exercer notre sensation. Or la mort se d?init comme l'absence de sensation. Donc la mort ne peut pas ?re objet d'exp?ience. (Soit elle est let nous ne sommes pas l soit nous sommes l(vivants) et elle n'est pas l.