Epilogue de "l'etranger" camus
Dans cet extrait, Meursault se retrouve au calme avec le départ de l'aumônier. Sa présence fut un véritable supplice pour le condamné, comme le suggère : « lui parti, j'ai retrouvé le calme. J'étais épuisé et je me suis jeté sur ma couchette ».
A travers cette partie nous retrouvons le champs lexical d'une nature paisible dans une Algérie endormie, elle se manifeste déjà à la ligne 3 « je me suis réveillé avec des étoiles sur le visage », « des bruits de campagne », « des odeurs de nuit, de terre et de sel », « une marée », « le soir était comme une trêve mélancolique » « cette nuit chargée de signes et d'étoile », le sujet de la nature est un thème récurrent dans la philosophie de Meursault qui l'évoque récemment à travers son récit. Ce champ lexical souligne les valeurs bénéfiques de la nature « rafraîchissaient mes tempes » ; « merveilleuse paix ».
La seule chose qui semble ne pas être absurde et dénuée de sens à ses yeux semble être cette nature dans laquelle il y trouve parfait repos et qui confesse ses pensées les plus obscures. Toutefois, malgré ces instants de calme dues à la nuit paisible, de cette « merveilleuse paix de cet été endormi » (lg.6), c'est un moment capital pour Meursault car c'est « a ce