Equerre et compas
A première vue, l’équerre et le compas semblent être des outils complémentaires en mesure d’aider le maçon dans sa quête de perfection.
L’équerre, pour ce qui est de notre personne, c’est la pensée qui prend le pas sur nos besoins physiologiques, nos comportements instinctifs ou soient disant naturels. Nous décidons en conscience que notre esprit gouverner notre corps et prendre le pas sur nos instincts, nos humeurs, nos reflexes naturels, nos peurs, etc…La raison nous éloigne de nos comportements primaires pour nous permettre de prendre du recul, relativiser et ainsi nous atteignons un niveau de conscience supérieure.
L’équerre symbolise aussi la rigueur, le respect des règles, des normes imposées par autrui ou que l’on s’impose à soi même. Pourquoi ? Ce cadre qui s’impose à lui l’individu va aider l’individu à se respecter lui-même mais aussi les autres. La vie en société nécessite que chacun puisse avoir la liberté d’évoluer, d’avancer à sa guise en ayant le souci du respect de l’autre et la garantie d’être lui-même respecter.
Ces normes ou règles que nous nous imposons ou subissons vont aussi être une façon de nous découvrir à travers nos limites, nos freins, nos peurs….Au delà de cela, elles peuvent également être des obstacles que nous souhaitons affronter qui peuvent aussi nous permettre de nous sublimer, d’aller au-delà de nos freins naturels, ses limites, de ses croyances, etc….
Le compas, lui symbolise l’ouverture. En tant qu’individu, la curiosité, le sens de la découverte permet à l’individu d’apprendre, de se cultivé, de s’enrichir à travers une vision du monde moins parcellaire et donc plus proche d’une forme de réalité.
Il doit t’abord s’ouvrir à lui-même, apprendre de ses erreurs, de ses imperfections. Soit apprendre à bien se connaître pour s’accepter tel qu’il est, ensuite trouver les voies de l’amélioration. Cela lui permettra d’être mieux avec lui-même et donc avec les autres.
Ensuite, s’ouvrir au