esclave au bresil
Les conditions de vie dans une plantation de canne à sucre, par le jésuite Antonil.
Le jésuite Antonil
A partir de 1654 il n’y a plus de domination hollandaise.
1681 il débarque au Brésil. Un prédicateur de la compagnie des Jésuites. Son succès en tant que prédicateur lui fait monter les échelons ; il est professeur de rhétorique à Bahia, directeur des études puis maître des novices, secrétaire personnel du père André de Vera, recteur du collège de Bahia et enfin provincial.
Un homme de religion.
Son ouvrage édite en 1711 en Italie. C’est un traité économique. Il étudie la production locale. Son livre est précis sur les chiffres et donc son livre est mise sous équestre suite à un avis outre-mer (ce conseil gère ce qui peut être su du Brésil en métropole vis-à-vis des rivales étrangers). On brûle livre qui devient rare. Un traité de l’économie qui est aussi un livre d’investissement.
Une source religieuse sur des affaires économiques. Les hommes religieux notamment les jésuites ont beaucoup écris. Fin XVII siècle les jésuites sont des acteurs économiques au Brésil. Ils possèdent des moulins à sucre et des esclaves.
A Santo Maro il gère une hacienda de la même manière que les colons laïques.
Le XVII siècle est aussi le commencement de l’économie mercantile.
L’église essaie de lier la pensée religieuse et la réalité économique
Comment Antonil un homme d’Eglise conçoit-il les relations entre maître et esclave ?
I) L’idée reçue : l’esclave est une nécessite
II) Des conditions de vie
III) Sa vision moralisatrice
I) L’idée reçue : l’esclave est une nécessite
A) le seigneur du moulin : l’engho
Une adresse implicite aux grands propriétaires d’hacienda qui sont propriétaires des moulins et de canne à sucre à l’ensemble du domaine ou les esclaves sont présents.
On utilise la traction animal et hydraulique.
Autour du moulin se trouve toutes les installations nécessaire à la transformation du jus. Des