Le document étudié est un extrait du journal « El Pais », paru en octobre 2005. Cet article met en avant le terme « mileurista », c'est un terme pour désigner un jeune diplômé, qui ne gagne pas plus de 1000 euros. En effet, en Espagne, les jeunes universitaires qui sortent avec des diplômes sont comdamnés à vivre dans la précarité. Pour commencer, après avoir passé quelques jours en allemagne l'auteur, Carolina de 27 ans, réside au centre de Barcelone et travaille dans une agence de publicité. Elle est en colère et décide de dénoncer ce problème en écrivant une lettre au journal « El Pais » à la suite de cela elle a inventé le terme « mileurista ». Ce qui a annoncé l'émergeance d'une nouvelle classe sociale. En effet, ces jeunes sont dans la précarité car ils doivent consacrer plus d'un tiers de leur salaire pour les dépenses du loyer en plus ils n'ont pas de maison, et pas de voiture... Ensuite, selon le réseau Eurydice, seulement 10 pourcents des universitaires en Espagne a un emploi correspondant à leur formation. Il s'agit d'un phénomène unique en Espagne. Selon le Nouvel Observateur, le sociologue français, professeur de science politique Louis Chauvel ELN "les nouveaux pauvres d'aujourd'hui sont les jeunes» L'avenir n'était pas là où il devrait être. En effet, Carolina ne trouve pas normal que les jeunes qui sortent avec des diplômes ne trouvent pas de travail et des salaires qui ne correspondent avec leur niveau d'étude.
Ils et beaucoup d'autres, suivi estidiando dans une tentative d'exceller: un maître, un docrorado, et les années de plus en plus, mais plus les besoins et les demandes pour un travail spécialisé et bien payés qui ne semble pas: un cercle vicieux qui n'est pas sans rappeler cette trace les souris cherchent désespérément des solutions à des labyrinthes truqué fin inutile. De toute façon, à la fois Garrido et Miguel Requena sociologue, un autre professeur de sociologie à l'UNED, acceptez de ne pas dramatiser »Les conditions de vie