Essai mondialisation

1280 mots 6 pages
Introduction
La société, au vingtième siècle, a été bouleversée par les nombreuses transformations qui ont lieu. Ainsi, de nouvelles idéologies apparaissent, tel le capitalisme qui aujourd’hui tend à transformer les sociétés du monde en un village mondial unique par le biais de la mondialisation.
Face à ces nouveaux enjeux de nouvelles problématiques surviennent. Face à ces enjeux, une question s’impose : doit-on laisser le cours des choses aller ou de mettre un frein à ce phénomène?
Avant tout, il importe de définir certaines notions, notamment la globalisation, le néolibéralisme et l’altermondialisme, par rapport à la mondialisation qui, elle, se définit par des transformations multidimensionnelles à l’échelle planétaire qui permettent l’extension des relations internationales et des échanges au niveau mondial. Ensuite, la globalisation est une forme d’intégrisme économique dans lequel tout doit être marchandisé et tout tend vers la création d’un village mondial. Elle est la forme la plus radicale du capitalisme. Ces deux concepts découlent de l’idéologie néolibérale, c’est-à-dire qu’elle « [valorise] l’autorégulation du marché par la dérèglementation et la privatisation des sociétés d’États et donc par la remise en question des politiques sociales universelles de types keynésiennes. » (G. Bourque et J. Beauchemin, 1994) En réaction à ces phénomènes, apparaît une forme de résistance, l’altermondialisme. Celui-ci désigne l’opposition à la mondialisation par l’abolition ou la réforme de celle-ci.
Le Sommet des Amérique est un bon exemple pour mieux cerner les notions abordées ci-haut puisqu’il regroupe chacun de ces concepts. En effet, cet événement est la suite logique des idéologies néolibérales, car il a permis la dérèglementation des échanges et a intégré les droits d’investir des entreprises pour avoir gain de cause contre les gouvernements. Ainsi, c’est un pas vers l’interdépendance des nations face à l’économie, c’est-à-dire la globalisation. Par

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