Daniel Poliquin est un écrivain franco-ontarien bien connu chez la francophonie canadienne. Son roman humoristique L’Obomsawin prend place dans les années 1930 dans une petite ville dans le nord de l’Ontario oú le célébre peintre, Thomas Obomsawin, est jugé pour avoir mis feu á la maison de sa mére. Malheureusement, son roman illustre les problemes de la société canadienne de l’époque. Ce fut une situation bien difficile pour les amérindiens a ce moment dans l’histoire du Canada. Le systeme judiciaire ne considérait pas les amériendiens comme des citoyens mais plutôt comme des êtres appartenant au bas de l’échelon de la classe social. En effet, les femmes de cette même origine était souvent forcées a abandonner leur bébé au organization gouvernementale de la protection de l’enfance. C’est-a-dire que l’on leur arrachait leur enfant pour les rediriger dans les familles d’accueil. La citation suivante décrit bien le sentiment des femmes a ce sujet : “La travailleuse sociale de Sioux Junction allait réguliairement pour lui demander son bébé. Flore refusait, gardait ses mains sur son ventre et ne disait rien”. Cela-dit, les familles d’accueil restent un sujet de contreverse jusqu’a aujourd’hui. L’adoption est un meilleur choix que le placement en famille d’accueil.
Les familles d’accueil présentent beaucoups plus de desavantage que l’adoption puisque les “parents” sont payés pour leurs services. Effectivement, le service, qui soutient être un avantage social, est un programme organisé par le gouvernement du Canada et rapporte une somme d’argent pour chaque enfant pris en charge. De plus, ce facteur peut s’avéré négatif puisque les parents ont une motivation de gain monétaire pour effectuer leur travail. Bien souvent , lorsque le gouvernement coupe les fonds, les enfants de ce systeme se retrouvent a la rue. Sans aucune famille a appeler au cas puisqu’ils sont habituellement placés loin de leur parents et sans contacts. Au