Esthétique de la communication
I) Introduction :
Définition :
Esthétique : sensation, une réflexion sur le corps et l’artistique.
« Le beau n’existe pas mais c’est le jugement qui compte »
1921, 1ère poste de philo à la Sorbonne
Production : un émetteur, un récepteur.
Une œuvre d’art dans un circuit de production, un réseau, comment elle circule.
Réfléchir l’œuvre dans son œuvre de commande (public)
Réflexion sur une stratégie de promotion, la cible, la clientèle
Festival
Les nouvelles technologies, un nouveau potentiel de circulation des oeuvres
Les artistes sont segmentés.
L’histoire de l’art c’est l’histoire de la pensée.
Nos gouts sont formatés, guidés par nos cultures
Quel est l’intérêt de dupliquer le réel ? L’homme a apprit à lire les signes de son environnement avant d’écrire.
Appréhender son environnement avant de le maitriser.
La vérité d’une ouvre artistique : Le portrait L’art n’est pas intemporel ni universel
Culture et époque
Photo, ciné, Bd, cuisine sont les nouvelles formes d’art.
L’art urbain ? La définition du concept d’art n’a plus son sens originel.
L’artiste réalise un chef d’œuvre, génie, l’artiste est d’abord un artisan. La capacité technique à modifier la matière. Matière qui va devenir ouvre et ensuite Le jugement du gout dira c’est beau et donc l’artiste est un génie.
Aujourd’hui c’est le marché qui définit ce qu’est une oeuvre, un artiste ou pas.
Depuis la renaissance les artistes signent leurs ouvres, Italie. Les artistes signent au moment ou il y a un marché de l’art.
L’art religieux, l’art est une médiation, un intermédiaire entre les hommes et les dieux, avec le monde invisible. L’art est une forme de relation, relier une communauté. La religion et le lien artistique vont de paire.
L’art commémore quelque chose. (Mémoire)
Essence de l’art : lien et mémoire.
L’art est le produit d’une pensée, on dessine comme on pense.
Permet