et ma cas rez na...
Cependant et malgré les libertés que le héros prend avec les mœurs, il semble respecter certaines valeurs propre à l’aristocratie comme notamment le code de l’honneur. A la fin de la seconde scène de l’acte III, il s’exclame « Un homme attaqué par trois autres ? La partie est trop inégale, et je ne dois pas souffrir cette lâcheté ».
Ce sentiment se retrouve avec le comportement qu’il a avec son valet, allant lui demander à la fin de l’acte II de risquer sa vie à sa place. Même impression avec le dialogue entre Dom Juan et M. Dimanche qu’il renvoie de manière hypocrite.
En outre son père, Dom Louis, représente lui aussi l’entourage aristocrate de Dom Juan, allant lui rappeler les bonnes manières bien que celui-ci ne soit pas justement écouté
Ainsi, Dom Juan est un libertin qui se joue des codes sociaux. Mais pas seulement ! Il pousse le vice jusqu’au blasphème, cette même impiété qui value à la pièce d’être suspendue dans les théâtres et qui fera l’objet d’un nouvel axe d’étude.
Il ne veut pas rester enchainer auprès d’une femme pour toujours, car ce ne serait pas juste pour lui et pour les autres femmes qu’il n’a pas encore rencontrées. La citation ci-contre définit bien mes explications : « J’aime la liberté en amour, tu le sais, et je ne saurais me résoudre à renfermer mon cœur entre quatre murailles. (…) Mon cœur est à toutes les belles, et c’est à elles à le prendre tour à tour, et à le garder tant qu’elles le pourront. » (p.54). Donc, Don