Et si c'etais vrai...
920 mots
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« Ce que je vais vous dire n’est pas facile a entendre, impossible à admettre, mais si vous voulez bien écouter notre histoire, si vous voulez bien me faire confiance, alors peut-être que vous finirez par me croire et c’est très important car vous êtes, sans le savoir, la seule personne au monde avec qui je puisse partager ce secret. » Lauren lui fixa d’un regard bouleversé et lui dit : * Qu’êtes-vous et de quel secret parlez- vous?
Le regard d’Arthur s’enfla et commença à déborder. La tristesse l’envahit et des larmes coulaient, l’une après l’autre. Ce dernier, comprit et commença de marcher sans réplique. Il n’osera pas dire un seul mot. Son cœur remplit de souffrance et de questionnements. Malgré tout, il savait au fond de son cœur, que ceci lui reviendra sûrement une fois, il faut simplement lui donné le temps d’y réfléchir. Un coma du quatrièmement stage n’est pas évident, mais il est véritable que la prise de conscience prendra du temps.
Le soleil tombait vers l’horizon, un de ces soirs tranquilles et sans tracas du bord du lac, dans la forêt boréale a San Francisco. Lauren marcha au clair de la lune, pour se détendre et respira à pleins poumons, c’était sa passion et l’endroit le plus chère après de longues heures au Memorial Hospital. L’envie pour la solitude est inévitable. L’air pur et simple; il n’y a rien de mieux. Les vagues frappèrent sur les roches où Lauren était assise, créant des petits souffles calmes qui passèrent à travers les branches. Il faisait plutôt éblouissant malgré la nuit, la lune était légèrement voilée de nuages, elle flotta silencieusement sous les arbres forestiers. Au moment où elle allait partir, elle entendit un bruit de vitre casser sur les roches. Elle descendit un peu plus bas sur les roches et trouva une bouteille cassée en milles morceaux avec un message à l’intérieur. Étant donné, qu’elle était très fatiguée et qu’elle commençait à avoir envie de rentrer chez elle, elle prit le vieux papier qu’il y