ANALYSE DE CINQ DE SES ŒUVRES
Le Mystère de Jean L’Oiseleur n°13 :

Le Mystère de Jean L’Oiseleur n°13 fût dessiné par Cocteau en 1924. Dans ce dessin, Jean Cocteau semple pensif. Il fît ce dessin à l’aide d’encre et de crayon de couleur noir. Il semble être en quête de quelque chose qu’il n’arrive pas à obtenir. Il utilisa un crayon de couleur noir au niveau de la tête et il a gommé des traits faisant penser à une sorte d’étoile. Sur le côté droit et le dessus de sa tête, Cocteau a écrit une phrase qui dans le miroir ressort à l’envers. Il est écrit : « J’ai endormi des gens trop éveillés pour qu’ils rêvent à d’autres qui s’endormaient. J’ai crié de toutes mes forces ». D’après cette phrase Cocteau semble avoir du mal à se remettre de la mort de son ami.

ANALYSE DE CINQ DE SES ŒUVRES
Le Mystère de Jean L’Oiseleur n°15 :

Le Mystère de Jean L’Oiseleur n°15 fût aussi dessiné en 1924. C’est autoportrait semble plus complet que le précédent. Cocteau fait plus de détails et de finesse. Il représente bien ses cheveux, ce n’est plus une masse sur le crane. Les sourcils, la moustache et les yeux sont représentés de façons superficielles. Cocteau à une rose au bord des lèvres. Derrière lui, un cœur est représenté de façon organique, celui-ci est très imposant. La phrase écrite autour de sa tête dit que « Le diamant dur je suis, qui ne se rompt du marteau ». Cocteau a surement voulu dire qu’il résiste aux critiques se formant autour de lui. Celles-ci doivent être représentées par les deux crapauds essayant de s’introduire dans sa veste. Il se représente en train d’écrire une lettre.

ANALYSE DE CINQ DE SES ŒUVRES
Le Mystère de Jean L’Oiseleur n°29 :

Le Mystère de Jean L’Oiseleur n°29 fût aussi dessiné en 1924. Dans cet autoportrait, Cocteau la douleur qu’il ressentait par ses maux physiques. Pour cet autoportrait, Jean Cocteau a utilisé de l’encre et des crayons de couleur bleu. Ici, il représente bien ses cheveux, yeux, sa main et l’expression de