Etre libre, c'est obéir à la loi que je me suis moi-même prescrite
« Être libre, c’est obéir à la loi que je me suis moi-même prescrite »
Depuis fort longtemps, l’humain est soumis à des lois qui, celles-ci font parties d’un appareil législatif qui se repose sur des bases religieuses, juridiques, idéologiques ainsi que du droit romain. L’individu se doit donc de respecter ces règles et sa propre morale. Obéir à ces « lois » permet de maintenir les valeurs de chacun dans une société. Les hommes peuvent-ils vraiment être libre en étant soumis par des lois ? Nous aborderons cette problématique en deux temps, premièrement les droits et la morale de l’individu et deuxièmement si l’obéissance supprime la liberté.
En effet, chaque société a une législation différente, l’individu est soumit à des lois qu’il est censé respectés. Ces lois ont pour but de garantir la liberté de chacun. De plus, ces règles permettent toutefois d’être libre et d’avoir un certain respect mutuel sans oublier la conscience de l’individu et le perfectionnement de chacun. La liberté, c’est vivre ce qu’on est sans se sentir interdit de volonté ou désir. Autrement dit, on peut être libre mais assumer certaines contraintes. Les contraintes existent mais elles ne sont pas toujours respectées. C’est-à-dire que si quelqu’un a la volonté de faire quelques choses, il peut le faire. C’est la loi du désir. De plus, la liberté se définit comme une réalisation volontaire, justifiée par le plus grand nombre de motifs car notre action est non seulement la pulsion d'un choix personnel, mais d'un choix capable de se justifier logiquement. Le droit à pour but de maintenir l’ordre social alors que la morale est essentiellement intérieure, elle a pour fonction de révéler la conscience de l’homme. Le droit c’est des sanctions étatiques alors que les sanctions morales sont intérieures. C’est pourquoi, en cas d’infraction ou de non respect des lois, le droit nécessite une action en justice alors que la morale entraîne seulement une remise en question de l’individu.