Etre ouvrier à la "belle epoque"
L'ouvrier est à la belle époque au centre du système capitaliste industriel. Les ouvriers travaillent avant tout dans les usines et "n'ont de richesse que leurs bras » . Durant tout le 19e siècle, la question sociale se pose vis à vis de cette classe exploitée, pauvre et marginalisée.
Les transformation du système capitaliste et la croissance économique du début du 20e siècle permettent elles l'amélioration de la condition ouvrière?
I- Une classe sociale en formation. 1) Une classe de plus en plus importante: a) Par le nombre b) Par son unité (cadre, difficultés travail, conditions de vie...)
2) Une prise de conscience; a) L'intégration à la vie politique (participation mouvements syndicaux et partis socialistes...) b) visibilité et identité fortes (luttes sociales...)
II- Une condition ouvrière en mutation.
1) Un travail ouvrier en mutation. a) Débuts de la législation du travail. (temps de travail, repos, vie améliorée...) b ) transformation du travail (taylorisme aux EU, limites...)
2) Une amélioration des conditions de vie mais avec ses limites. a) Une intégration à la société. (augmentation salaire, augmentation niveau de vie., paternalisme...) b) Mais des conditions de vie encore très difficiles (peu de loisirs, peu d'éducation, peu de mobilité social, exploitation...)
Conclusion:
L'ouvrier au début du 20e siècle est très différents de celui qu'il était au début du 19e. La classe ouvrière est une classe montante, leurs conditions de vie et de travail se sont nettement améliorées en l'espace de quelques années.
L'ouvrier n'est plus le prolétaire des début de l'industrialisation mais sa condition est encore très limité avant 1914. La belle Époque n'est donc pas celle de