Etude de cas bertrand poirot delpech
L’auteur de ce billet d’humeur Bertrand Poirot –Delpech, nous décrit 3 situations différentes où il veut montrer que le langage est un instrument de domination et d’autorité. Il évoque dans chacune de ses situations les facteurs responsables de son constat et des arguments pour appuyer ses idées.
La première situation est la communication audio-visuelle. Il démarre sur ce sujet car l’univers des médias où une information claire et transparente devrait être une priorité se trouve compromise par l’intérêt de quelques uns. Les responsables de cette « manipulation médiatique » sont les intervieweurs, leurs invités et le personnel politique.
L’intervieweur a en effet un grand pouvoir : celui de poser les questions et donc d’amener l’invité à une réponse souhaitée. Maitrisant totalement cet exercice de style, l’interview prend la tournure qu’il désire et il créait ainsi une situation de domination par le langage.
Mais la faute ne vient pas seulement de l’intervieweur, les invités ont eux aussi une part de responsabilité dans cette problématique. C’est-à-dire que lorsqu’ils sont en face d’un intervieweur, ils jouent leur jeu de manière « docile » et subissent cette domination qui est pour Bertrand Poirot-Delpech choquante tellement elle est facile et écrasante.
Un troisième facteur est responsable de cette situation: le personnel politique. En effet, pour ce qu’il s’agit d’arrangement entre « puissants » de ce monde, les politiques sont de véritables marionnettes dont la crédibilité de leurs propos est vraiment exaspérante. Si une vérité pose problème aux intérêts de ce type de personne alors cette vérité sera noyée dans des commentaires où le public s’y perdra et aura du mal à forger sa propre opinion.
La deuxième situation est la communication interpersonnelle. C’est une suite logique