Etude de cas nadine lebrun
Professeur : M.
Avec un baccalauréat en administration des affaires, Nadine Lebrun travaillait dans une petite société de promotion immobilière. Elle occupait le poste d’adjointe administrative du directeur de l’entreprise. Son salaire était inférieur aux salaires de ses compagnons d’études, mais elle appréciait son travail, c’était un emploi qui lui procurait beaucoup de plaisir et de satisfaction. À cause de la récession le directeur de l’entreprise ne haussa pas les salaires des employés pendant deux années. Du coup, Mme. Lebrun commença à chercher un autre emploi. Une grande entreprise canadienne était intéressée par le profil de Nadine, la société offrait à Mme. Lebrun un salaire de 53 000 $ soit 13 000 $ de plus que son ancien salaire. Après plusieurs entrevue, Nadine ne connaissait toujours pas les tâches et les responsabilités auxquelles elle devra faire face, mais accrochée par le salaire, elle fini par accepter le poste. Six semaines plus tard, elle se rendu compte que ses tâches au sein de l’entreprise n’était pas clairement déterminer et que sa charge de travail était minime et donc elle n’arrivait pas à s’adapter dans son nouveau milieu. Elle se rassurait avec son salaire qui était élevé et avec la bonne entente avec son supérieur, Mme. Arlène Campbell, mais ne se voyait pas terminer sa carrière dans ces conditions.
Problématique :
Dans cette grande entreprise, il y a des confusions au niveau des tâches de chaque employé ainsi qu’un manque de motivation imminent. Ces problèmes viennent de la direction (Arlène Campbell) qui ne donne pas de directives précises et ne motive pas assez son groupe.
Options : * Option 1 : Statu quo *