etude de texte mariveaux
4) Sylvia agressive cherche à retrouver son statut
Sylvia se met à beaucoup parler pour reprendre le dessus. Elle utilise des impératifs, elle donne des ordres. Elle la traite par des phrases nominales. « La sotte. » Elle utilise une phrase nominale car elle la méprise.
Lisette obéit aux ordres de Sylvia. « Laissez-moi », « Retirez-vous. ». Lisette part alors.
Sylvia la menace du renvoi par exemple. « Je prendrais d’autres mesures. » Sylvia a réussi à reprendre le dessus sur Lisette.
Le jeu de costume que Sylvia a choisi la pèse, notamment à cause Dorante, mais également à cause de sa servante. Il y a une confusion des rôles, cela va bouleverser Sylvia.
II- Bouleversement des personnages
1) Sylvia aime Bourguignon
Sylvia aime Bourguignon. Son langage la trahie. Au début elle parle de lui en tant que valet, puis elle utilise d’autres termes comme, ce garçon, ou le pauvre garçon. Sylvia a pitié de lui. Cela montre son attirance pour lui. Elle l’appelle même par son prénom et le nomme aussi d’objet, un nom respectable.
Elle avoue dans son monologue que bourguignon ne la laisse pas indifférente, puis elle insiste avec voici et voilà. Cette insistance montre qu’elle a des sentiments pour lui.
« Je ne dois pas m’en prendre à lui »
Lisette sait que Sylvia aime Bourguignon, elle l’a fait remarquer à monsieur Orgon.
Elle le défend Elle contredit le fait qu’il lui « gatte l’esprit ». « Il n’a jamais rien dis que de très sage. » La négation restrictive le valorise beaucoup.
Elle le défend plusieurs fois, il y a des répétitions.
Elle nie « fourbe et imbécile ».
2) Sylvia en crise
Sylvia comprend les sous-entendus de Lisette à propos de Bourguignon. Lisette montre que Dorante est bien. Sylvia réagit. Elle utilise une antithèse, avec « bonne » et « mauvaise ».
Sylvia ne parle