Etude des haut quartiers marguerite duras , un barrage contre le pacifique
Tout d abord on remarque que c’est la ville coloniale dans son ensemble qui est présentée, avec ses codes et ses hiérarchies. La hauteur représente une distinction, une supériorité. Le quartier évoqué est réservé à un groupe particulier, pas tous les colons, seulement « les blancs qui avaient fait fortune ». On peut également voir se cercle fermé avec le fait de se « retrouver entre eux ». De plus on a un espace très spacieux, qui renvoi a une hyperbole , tout est spacieux, les trottoirs, les avenues, les terrasses. Le centre est un endroit préserver, isoler : « c’était au centre seulement qu’a l’ombre des tamariniers s’étalaient les immenses terrasses de leurs cafés ». Le centre est donc un espace aristocratique , noble , à privilégiée et à protéger. D’autre part, le quartier représente aussi le luxe avec les automobiles, les magasins, les cafés et les cocktails ; et la beauté avec La blancheur qui est très présente jusqu'à « la luisance ». De même il y a les fleurs et les « arbres rares ». Beaucoup d’éléments sont présent pour ne pas rappeler le monde des affaires, de négociation. Le quartier représente le calme et la paix : « puissants au repos », « paix sans mélange , il y a le silence des automobiles. Aucun bruit dans le haut quartier, seul le temps passe lentement avec les colons en terrasse « jusqu’à tard dans la nuit ».
II. Une dénonciation
Une indication nous permet d’identifier la dénonciation : « On pouvait voir les blancs ...» .Témoigner de ce que l’on voit c’est porter une accusation, se mettre en situation pour dénoncer. La narratrice donne accès à